Pour traiter une question qui ne concerne pas moins de 1 200 000 travailleurs, vous proposez des ordonnances, dont on pourrait résumer la philosophie, comme l'a dit Boris Vallaud, en ces termes : le dialogue social, oui, le dialogue parlementaire, non ! C'est problématique, et cela en dit long sur votre conscience des difficultés et votre manière de chercher à les contourner. Ne serait-ce que par dignité, au nom de notre rôle de parlementaires, opposons-nous à ce procédé. C'est au Parlement de décider dans cette matière cruciale.