Monsieur le rapporteur général, au vu de ce qui avait été accompli avant, vous pouviez difficilement faire pire. Il n'y a pas un hôpital qui relève la tête. Pas une journée ne s'écoule sans que l'on ne nous annonce la démission d'un cadre, d'un chef de service, la fermeture des urgences la nuit… On ne peut pas se satisfaire de la situation de l'hôpital. Certes, vous injectez de l'argent et avez augmenté le traitement des personnels de 183 euros mensuels : j'avais remercié M. Véran à ce sujet. Toutefois, les mesures prises sont insuffisantes au regard des problèmes accumulés au cours des vingt dernières années. On va droit dans le mur.