Ces amendements sont a priori justifiés dans la mesure où ils permettraient d'accélérer une évolution que nous attendons depuis plusieurs années. Mais, lorsque nous en avons discuté avec les membres du cabinet de la ministre déléguée – peut-être l'administration centrale a-t-elle dit le contraire mais je me fie davantage aux ministres –, il nous a été clairement dit qu'il suffisait que les SAAD demandent l'autorisation aux ARS, lesquelles ont pour mission, je le rappelle, de contrôler qu'on ne fait pas n'importe quoi.