Je ne vous en veux pas, monsieur le rapporteur pour avis, mais vous connaissez les règles auxquelles nous devons nous plier pour rendre nos amendements recevables.
Je profite de l'occasion pour souligner que le budget de l'Unédic est très bien géré par les partenaires sociaux, et que les difficultés de l'Unédic, qui appellent parfois sa mise sous tutelle, viennent surtout du fait que l'État ne finance plus les politiques de l'emploi, préférant les faire payer par les chômeurs eux-mêmes.