Monsieur le député, l'évolution de l'accidentalité sur les routes de Guyane n'est effectivement pas satisfaisante. Vous avez fait référence au tragique accident qui s'est produit dans la nuit du 9 au 10 décembre dernier à Iracoubo et qui a fait trois morts et huit blessés. Je rappelle que les routes de Guyane restent particulièrement accidentogènes, puisque la proportion de personnes tuées s'y établissait à 123 pour 1 million d'habitants entre 2012 et 2016, contre 53 pour 1 million en métropole. Il convient donc d'agir.