Je ne comprends pas quel problème vous avez avec ce mot, mais ce n'est pas grave. Quoi qu'il en soit, je suis d'accord avec vous pour dire qu'il faut accompagner les jeunes.
Je vous rappelle cependant, primo, qu'on nous le dit depuis 1968, qu'on n'est jamais au bon niveau au bon moment !
Secundo, vous qui connaissez bien les jeunes, pensez-vous vraiment que ceux qui n'ont pas les prérequis, les fameux « attendus », par exemple en langues, pourront les acquérir en un module d'un ou deux semestres, alors que c'était à l'éducation nationale de les former depuis dix ans ?
Tertio, avez-vous les moyens de vos ambitions concernant l'orientation et la remise à niveau ?