Au niveau des départements, en ce qui concerne la cybersécurité, nous pensons avant tout à la prévention des risques. Deux points nous préoccupent. Sur la partie infrastructures, les RIP ont l'avantage de permettre de disposer d'un réseau que nous maîtrisons, en particulier dont nous maîtrisons la qualité. Les départements coopèrent actuellement avec la mission Très Haut Débit sur l'aspect construction et pérennité des RIP.
Pensons également à nos collèges du point de vue de la sécurité. La Poste et la Caisse des dépôts et consignations ont pris le contrôle de Pronote. Certes, cela permet de conserver une certaine souveraineté mais nous attendions l'État sur ce point : qu'existe-t-il de plus intéressant en matière de souveraineté numérique qu'un outil comme Pronote ? Cela permettrait la protection des enfants, de leurs familles et des enseignants. Cela faciliterait aussi les retours d'expérience et les actions en matière de numérique entre l'État et les collectivités. La cybersécurité se gère à travers ce type d'action sur des infrastructures et des problématiques comme Pronote.