L'UGAP, comme SCC, y sont très sensibles. Les ministères ont des équipes informatiques très compétentes, sur les choix desquelles il est difficile d'influer. L'influence est en revanche très facile à exercer sur les services d'une collectivité locale. La situation est compliquée car les bénéficiaires finaux souffrent d'un important manque de compétences sur ces sujets.