La souveraineté se conquiert encore plus qu'elle ne se défend, particulièrement dans le domaine informatique. Des interdépendances considérables existent entre le software, le hardware, le conseil et le logiciel. Cela nécessite une réflexion stratégique fine et poussée sur ces sujets. Il convient de promouvoir des solutions françaises ainsi que de promouvoir des solutions de protection de notre économie. Nous devons mobiliser pour cela tous les ressorts existants. Il faut soutenir les grandes entreprises françaises : vous avez cité Doctolib, Cap et Atos – il est vrai que ces entreprises ont en partie délocalisé leurs emplois, mais c'est aussi de cette manière qu'elles ont pu grossir et garantir leur croissance. Il est indispensable que nous disposions d'un certain nombre de grands champions français et européens et que nous soutenions leurs activités.