Je partage en partie avec vous la définition de la souveraineté numérique. Je fais une dichotomie entre la souveraineté numérique d'un côté et le « franchouillardisme » numérique de l'autre. Je ne suis cependant pas d'accord avec vous sur la solution à y apporter. La souveraineté de l'Europe passera quoi qu'il arrive, que ce soit dans l'IA ou dans les solutions logicielles, par du logiciel libre parce que nous ne pourrons pas rattraper le retard qui a été accumulé. Nous avons déjà des briques pour ne pas réinventer la roue.
J'aime bien votre manière de vous présenter en périphérie des GAFAM. Elle vous rend sympathique.