Nous n'utilisons pas les photos sur la partie biométrique, car le procédé consiste, dans un premier temps, à transformer la matière brute. Ainsi, la photo est transformée en un template qui permettra d'en tirer une analyse biométrique, mais celui-ci n'est pas directement exploitable. Il sera alors stocké, via plusieurs niveaux de chiffrement. Les premières informations dont nous disposons sont donc stockées dans le coffre-fort de l'État.
L'identité est prouvée au moment de sortir son document. Il existe ainsi un décalage entre les usages demandés en ligne et les moyens dont nous disposons à l'heure actuelle pour nous authentifier.
Sur les documents physiques, nous investissons plus de 200 millions d'euros par an. Nous investissons également massivement dans des technologies liées à la photo, notamment en couleurs, permettant de valider que le document en présence a bien été émis par un gouvernement. Sur ce point, nous proposons de nombreuses technologies différentes aux gouvernements du monde.