Nous menons de nombreux projets avec le Gouvernement ainsi qu'avec l'Europe, sans pour autant rencontrer de problèmes de gestion. Dans ce cadre, nous émettons des recommandations, mais toutes ne sont pas entendues. Je suis en tout cas satisfait de nos échanges avec l'ANTS ou avec les forces de l'ordre.
L'État n'est pas seulement accompagné par des acteurs tels qu'IDEMIA ou des start-up, mais également par certains grands intégrateurs. Par exemple, l'appel d'offres sur l'identité numérique lancé en fin d'année sollicite l'aide de ces intégrateurs. Ainsi, le Gouvernement français semble bien conseillé.