Le plafond d'emploi de l'agence a été revalorisé cette année de six ETP, afin de répondre aux enjeux auxquels nous sommes confrontés. Nous rencontrons des difficultés de recrutement, mais pas plus que la plupart des services de l'État. À ce sujet, nous nous sommes engagés dans une démarche de type « marque employeur », afin de mieux recruter et mieux conserver nos talents, pour pallier le fort turnover que connaît l'agence. S'il est vrai que notre cheffe de projet CNIe a annoncé qu'elle souhaitait partir, ce départ ne remet pas en cause la capacité de l'agence à mener à bien ses projets.
D'aucuns ont pointé du doigt le déséquilibre existant entre l'agence, qui compte environ cent quarante collaborateurs (hors support usagers) et l'Imprimerie nationale qui demeure l'un de nos interlocuteurs majeurs. Il est de notre responsabilité de structurer le dialogue entre ces deux entités, en gardant à l'esprit que l'agence est soutenue par le ministère de l'intérieur, lui permettant de mobiliser l'expertise disponible en matière de fraude sur les titres. L'agence ne doit donc pas être réduite à ses effectifs stricto sensu.