Afin de traiter des volumes importants de données relatives à l'identité numérique, la chaîne de confiance utilise des technologies, notamment des certificats électroniques. Privé, le cloud que j'évoque ne correspond pas à la définition que l'on donne ordinairement de ce terme. Pour ma part, j'entends par lui des infrastructures fiables, dont des opérateurs de services de confiance, dûment habilités, se chargent de la gestion. Elles permettent d'industrialiser tous les éléments de sécurité nécessaires à la création des identités numériques. En définitive, elles ne diffèrent pas significativement des techniques d'industrialisation du cloud au sens strict.
Pour une société comme Atos, partie au projet européen d'infrastructure de données GAIA-X, développer des capacités de calcul importantes, anticiper les évolutions post-quantiques à venir, lui sont indispensables pour se maintenir à l'état de l'art.