On cite souvent des proportions allant de 20 à 30 %. Il doit être possible d'améliorer la situation en agissant sur les prestataires qui facilitent le paiement des rançons. Des réflexions sont menées par le Trésor public, le parquet et le ministère de l'intérieur pour leur compliquer la tâche.
J'ai conscience de former là un vœu utopique, mais il faudrait faire passer le message que, si plus personne ne paie de rançon, ce type d'attaque cessera, quitte à ce que les criminels recourent ensuite à d'autres formes de malveillance. En attendant, l'impact de leurs méfaits aura quand même été réduit.