Nous avions positionné ce que nous percevions comme le futur de l'identification numérique d'une personne. Cela correspond tout à fait à notre démarche de cybersécurité. Nous préconisons une augmentation du nombre de critères de vérification de l'identité de la personne, de son comportement en ligne et de son positionnement géographique, grâce à des outils liés aux smartphones notamment. Nous sommes très favorables à une sécurité fondée sur le principe zero trust : il ne suffit pas de s'identifier une fois, et la posture doit être cohérente pour que l'identité des personnes sur Internet soit garantie.
Nous considérons qu'il revient aujourd'hui aux États et aux organisations internationales de prendre la main sur la définition de l'identité numérique – comme l'a fait l'Union européenne, et comme, me semble-t-il, le gouvernement français s'est engagé à le faire prochainement.