Il faut essayer de combler le retard d'il y a trois ans et atteindre un système à parité avec celui de nos voisins allemands et britanniques, toujours dans l'idée d'élaborer une identité numérique à l'échelle européenne, qui est le grand enjeu en la matière. Les processus de décision à cette échelle peuvent réserver des surprises et ne pas être optimaux, mais nous pouvons espérer que la présidence française de l'Union européenne qui s'annonce soit un accélérateur en Europe et en France sur nombre de ces sujets, dont l'identité numérique.