Je suggère de s'en occuper d'abord au niveau national et ensuite seulement européen, puisqu'une certification à un échelon supranational prendra plus de temps à établir. Ce processus par étapes garantirait en outre que les entreprises étrangères désireuses d'aborder le marché français respectent un certain nombre de critères de qualité en matière d'infrastructure, sans pour autant préjuger de la qualité du produit ou du service finalement proposé.