Comme je l'ai dit, la blockchain a une force probante élevée. Je suis d'accord avec les conclusions du rapport de France Stratégie. Je ne pense pas que l'on puisse le remettre en doute. Le problème se situe au niveau de la présomption de fiabilité. Les éléments inscrits dans cette blockchain bénéficient-ils d'une présomption de fiabilité ? Pour cette fiabilité, il est nécessaire d'avoir recours à la signature électronique qualifiée et à l'horodatage électronique qualifié, sans quoi la fiabilité sera à l'appréciation du juge.