Comme je l'ai souligné tout à l'heure, il faut des cas d'usage de la blockchain pour que cette technologie puisse percer, surtout auprès des utilisateurs. La France a privilégié la technologie blockchain dans le domaine monétaire et financier. Nous l'avons vu dans le domaine de l'art, cela ne parle pas à tout un chacun. L'idée serait de trouver des cas d'usage dans notre vie quotidienne, comme je le disais tout à l'heure à propos de la chaîne alimentaire. Ce qui freine la technologie blockchain, c'est surtout cette insécurité juridique, et la question des moyens de preuve – d'où la nécessité de revoir le Règlement eIDAS.