L'institut des systèmes complexes, dépendant du CNRS, que je mentionnais plus tôt, travaille sur ces sujets.
Concernant le CNNUM, notre premier livret évoquera la manière d'utiliser l'IA, non pas contre elle-même, mais afin de débusquer en son sein les biais de genre, les biais sociaux ou éducatifs.
Je répète que nous sommes absolument responsables des systèmes que nous créons, et des algorithmes que nous bâtissons. Parfois, je crains que certains ne cherchent à se cacher derrière les machines pour agir. Mais ce point nous fait revenir au projet politique et social.