Si le cloud de Microsoft répond aujourd'hui aux besoins de l'État, c'est parce que le cloud est une plateforme agnostique sur laquelle il est possible de faire ce que l'on veut (utiliser de l' open source, des logiciels propriétaires, ou développer ses propres logiciels).
Nous sommes capables, si l'État le souhaite, de répondre à l'ensemble des besoins énoncés dans sa stratégie cloud. Mais l'État peut aussi développer ses propres solutions à partir d'un cloud public comme le nôtre. Le cloud public est important : il permet des effets d'échelle très importants et une élasticité à la demande, notamment en matière de puissance. Les choix sont ouverts. La France offre, grâce à son écosystème, le plus grand nombre d'offres et d'approches du cloud.
La marketplace de Microsoft accueille également les éditeurs de logiciel de tierces parties, et notamment des éditeurs français. Cela permet de projeter cette offre dans le cloud et à l'étranger. Nous accueillons donc tout un écosystème à l'intérieur de la marketplace de notre cloud Azure.