Les ministres ont abordé cette question, lors du Conseil des affaires générales. Les chefs d'État ou de gouvernement se sont assez vite rendu compte qu'ils n'avaient pas suffisamment de matière pour obtenir un accord dans la nuit du jeudi au vendredi. Après avoir constaté que plusieurs points nécessitaient du travail, ils ont appelé Charles Michel à mener des négociations. Il se rendra dans les capitales, pour que l'ensemble des États membres puissent lui faire part de leurs attentes. La France attend bien la fin des rabais. Nous sommes l'un des rares contributeurs nets à ne pas en bénéficier. Nous assumons, sans nous cacher, sans pudeur de gazelle, puisque c'est une expression désormais officielle…