Plusieurs pays, à commencer par les États-Unis, contestent devant l'OMC la politique européenne en matière de perturbateurs endocriniens. Les arguments qu'ils avancent sont-ils solides et ont-ils des chances d'aboutir ? Il me semble incroyable que l'on soit attaqué pour une politique totalement conforme aux intérêts sanitaires des populations européennes et mondiales. Cela ne relève pas forcément de votre rapport, mais cette question mérite un éclairage.