Je n'ai pas voulu exonérer la France de mes reproches, nous sommes tous dans une relation un peu schizophrénique avec l'Union européenne, et cette schizophrénie devient insupportable. Les populations voient bien le fossé considérable entre le discours proclamé et les réalités assumées.
Vous avez raison, Mme la Présidente, de dire que la position allemande pose problème. Nous avons reçu il y a quelques semaines les Néerlandais, nous avons été un peu impressionnés par leur « radinisme », et quelquefois nous avons le sentiment que les Allemands ont tendance à être des « Néerlandais inavoués ».