Je remercie nos intervenants. Je crois que nous pouvons nous accorder sur le fait que l'Union européenne doit rester fondée sur les droits fondamentaux, la démocratie et l'État de droit. Sans cette colonne vertébrale, je ne sais pas où nous trouverons le ciment pour progresser dans cette crise.
Nous aurons cette situation à l'œil, et je proposerai au bureau de poursuivre nos travaux autour de la situation tout le temps qu'elle se prolongera. Pour faire écho aux propos de M. Bourlanges et de M. Dam, il faut effectivement une pression des parlementaires nationaux, d'une manière transpartisane. Lors d'une COSAC à Helsinki, nos collègues néerlandais ont proposé un groupe de travail autour de l'État de droit. J'ai participé à une première réunion ; une visioconférence aura sans doute lieu afin d'établir comment intervenir, en tant que parlementaires nationaux et européens, sur ces sujets.