Nous ne sommes pas favorables à une relance visant le retour au productivisme sans fin fondé sur des politiques d'austérité. La crise doit être l'occasion d'une bifurcation radicale de l'économie et de faire face aux défis actuels et futurs. Or les moyens mis en œuvre ne sont pas suffisants. Un mécanisme de dette perpétuelle aurait un effet levier. Quelque 700 personnalités des 27 États de l'Union ont signé un appel invitant à lever 500 milliards d'euros par an pour une relance durable, moyennant la fin des subventions pour les énergies fossiles et une taxe sur les fondations financières. Quel est votre avis sur ce sujet ?