Même avis que précédemment, pour les mêmes raisons, puisque la philosophie est la même. Je précise à nouveau que le recteur dispose déjà d'un pouvoir d'affectation en premier cycle – même si le projet de loi apporte certaines précisions dans ce domaine. L'autonomie des établissements n'est évidemment pas remise en cause : il n'y a pas de changement à cet égard.