Cette crise a du bon car elle bouscule pas mal de choses. On passe d'une union monétaire à une union économique et monétaire.
En ce qui concerne le commerce, il n'est pas question de renoncer à importer ou à exporter mais on peut mettre des normes pour que les produits s'adaptent au marché européen.
Concernant la solidarité industrielle, il est hors de question que ce soient la France et l'Allemagne qui concentrent l'ensemble de l'industrie européenne. Il faut y associer les plus petits États. Tous les pays doivent bénéficier du partage de valeurs. Ce n'est que comme cela que l'on arrivera à créer un esprit de solidarité.