Madame la présidente, madame la ministre, monsieur le rapporteur, chers collègues, vous aurez compris que nos principes, notre philosophie et notre logique n'ont rien à avoir avec les vôtres. C'est la raison pour laquelle il nous est difficile d'entrer dans le détail des amendements déposés sur ce projet de loi, et des aménagements que vous proposez, qui introduisent des quotas, des critères et des attendus. Cela conduit à des aberrations, comme sur la question du nombre d'étrangers.
Je voudrais rappeler que nous sommes O. K. pour la réussite, et donc O. K. pour l'accompagnement des jeunes.