Je vais prendre un exemple. Avant la crise pandémique, la consommation de plastique était en diminution. Avec la COVID, elle a été multipliér par deux. Une pandémie peut donc renverser des choix stratégiques. Nous sommes à la fois fragiles et en même temps vecteurs d'efforts dans la logique de mieux faire.
Le secteur agricole a connu une diminution drastique du nombre d'agriculteurs. Mais en même temps, des formations ont été engagées qui ont permis d'améliorer la qualité des eaux et de sortir du contentieux avec l'Europe. Les émissions GES devront connaître la même trajectoire. Nous y arriverons, une rééducation est nécessaire sur la façon dont nous consommons collectivement : une rééducation des enfants mais aussi des cuisiniers, des gestionnaires qui décident des menus et ceux qui les livrent. Chaque jour, nous devons faire des efforts.