C'est dommage, parce qu'il appartient aux législateurs que nous sommes de décider ce qui doit figurer ou ne pas figurer dans la loi. Ce sujet est d'autant plus important que d'autres pays sont allés dans ce sens. Je sais bien que des améliorations ont déjà été apportées – je ne dirai pas le contraire – , mais il faut savoir aller plus loin. Je reste persuadé qu'il faut systématiser ce dispositif, ce qui est loin d'être le cas aujourd'hui, puisqu'il touche au grand maximum 20 % des étudiants alors qu'il devrait en toucher 100 %.