Je pense que le vecteur commun de nos interventions est la question de l'éducation et de la formation. Je voudrais insister de nouveau sur ce point. Si de nombreux projets existent déjà, ils gagneraient à être mieux connus et développés.
De nombreuses structures utilisent des bénévoles pour promouvoir les programmes existants et générer de l'enthousiasme auprès des jeunes. Des outils existent aussi sur le site de l'Éducation nationale. Ils évoquent de manière concrète de l'Union européenne et abordent les questions européennes souvent jugées trop compliquées.
Nous avons également des projets pour inclure davantage les outre-mer et les personnes souffrant de handicap. Nous souhaitons inclure les jeunes dans toute leur diversité. Ce travail doit être fait au plus près des territoires, je pense au projet au label villes européennes. Il faut casser le mythe selon lequel l'Europe est lointaine et exclusivement à Bruxelles.
Nous souhaitons une Europe plus sociale, plus démocratique et aussi une Europe fédérale. Nous ne devrions pas avoir peur d'en parler. Ce mot ne fait pas peur ailleurs parce qu'il est mieux compris. Nous devrions faire plus de pédagogie sur cette idée.