Comme l'a dit mon collègue, nous faisons un travail intense au sein de la commission des affaires européennes pour inciter le public à participer qu'il s'agisse des fondations ou de personnes de la société civile. Nous verrons si, lors de la prochaine assemblée plénière qui aura lieu au mois de décembre, il sera possible d'accélérer les travaux de la conférence. Nous avons l'impression qu'il va être difficile de respecter l'agenda et d'être prêt pour le printemps 2022 car le nombre de propositions est élevé (plusieurs dizaine de milliers) et qu'elles seront difficiles à analyser pour savoir dans quelle direction l'Union doit s'orienter.