En ma qualité de corapporteure d'une mission sur l'avion du futur, je viens d'auditionner le groupe Avril. Il en ressort que les intercultures sauveront peut-être une partie de l'agriculture, mais devront aussi être vertueuses et s'adapter. Il s'agit de produire un nouveau carburant, pour réduire notre dépendance.
Par ailleurs, des entreprises françaises encore peu connues – ce sont souvent des start-up – travaillent à réduire le poids de l'acier. Grâce à des procédés chimiques, elles parviennent à l'alléger de 30 %. Demain, la traction et la propulsion demanderont moins d'énergie. Il convient d'accompagner financièrement ces efforts.