Cette proposition de résolution européenne porte sur une thématique très technique qui est pourtant souvent sous-estimée. Très concret, ce sujet complique la vie des citoyens européens vivant dans ces régions frontalières, qui sont même 1,9 millions en ajoutant la zone AELE. En effet, ces zones particulières sont des bassins de vie, qui ont besoin d'une approche différente, car les barrières du quotidien peuvent nourrir une forme d'euroscepticisme alors même qu'il ne s'agit pas toujours de compétences de l'Union. Pour la sécurité juridique aussi bien des travailleurs que des entreprises, il est donc important d'attirer l'attention des institutions européennes sur ce sujet très complexe.