L'an dernier, vous avez annoncé l'accélération de plusieurs programmes de la loi de programmation militaire pour adapter les forces armées aux menaces qui se multiplient. D'autres puissances étatiques, comme la Russie, développent bien des actions autres que militaires – dans des domaines aussi variés que la diplomatie, la désinformation, l'économie, le spatial ou le droit international. Face à ces menaces hybrides, et qui deviennent imminentes, la France doit-elle accélérer dès 2022 ces programmes ? Si oui, quels sont les autres domaines capacitaires prioritaires ?