J'ai bien compris que vous laisserez au Président de la République la primeur de la réponse ; cependant, je souhaite vous interroger, à la suite de mes collègues Jean-Jacques Ferrara et Jean-Louis Thiériot, sur la situation au Sahel : comment poursuivre notre engagement sans l'appui de nos bases ? Quelles options de repli se présentent à nous ? Quel est l'avenir de la force Takuba ?