L'Ukraine et la Russie ne représentent que 5 % de la production mondiale d'acier, mais les grands producteurs profitent des tensions liées au conflit pour organiser la pénurie en conservant des stocks et en spéculant sur la hausse des cours. Non seulement les prix flambent, mais nous subissons aussi la pénurie sur les marchés. Cette situation pourrait-elle être évitée ? Que comptez-vous faire dans les semaines et les mois à venir ?
Dans le cadre du plan de résilience, 400 millions d'euros seront alloués aux éleveurs. Or, dans les territoires comme le mien, marqués par le système de polyculture-élevage, seules quelques exploitations seraient éligibles à ces aides. Avez-vous des précisions à nous apporter à ce sujet ?