Vous dites que le protocole n'est pas respecté dans les Deux-Sèvres. Je vous renvoie aux propos du préfet, qui suit la question au jour le jour. Le moratoire auquel vous appelez n'en est pas un : vous appelez à l'arrêt de tout ce qui a été construit, à quoi vous aviez donné votre validation en son temps, avant de partir avant la fin – nous pouvons refaire l'historique, je le connais par cœur.
Quant au courrier auquel je n'ai pas répondu, j'attends que vous condamniez les actes inadmissibles commis il y a quelque temps, notamment les dégradations de bassines.