La médecine de ville est le parent pauvre de l'organisation de notre système de santé ; le monde rural est confronté à une inquiétante désertification médicale et peine à faire venir des médecins. Comment voyez‑vous le rôle de la HAS dans la nécessaire redéfinition de l'articulation entre hôpital et médecine de ville ?
Vous avez été directrice de cabinet d'une ministre des sports. Le sport a‑t‑il dans notre système de santé la place qu'il mérite ? La HAS peut‑elle jouer un rôle moteur à cet égard ? Je pense par exemple au suivi du traitement de l'obésité chez l'enfant et l'adolescent, un sujet auquel la HAS a consacré plusieurs rapports.