En 2017, pourtant, la préfecture avait refusé d'autoriser ce projet, considérant qu'il portait atteinte au mémorial et à la mémoire des victimes. C'était aussi la position défendue par les habitants, les élus et les associations. Le tribunal administratif avait confirmé la position de la préfecture – avant que la cour d'appel ne l'infirme.
Un vent de colère souffle désormais sur ce territoire, comme dans les Hauts-de-France tout entiers, tant notre région est défigurée, sacrifiée sur l'autel des postures.