La réforme du baccalauréat était demandée depuis des décennies. Deux majorités, la vôtre mais aussi la majorité socialiste, ont pu la désirer et l'envisager à certains moments. Il est assez savoureux de vous voir la critiquer maintenant. Premièrement, elle est fondée sur la liberté. On a donné plus de liberté aux lycéens et aujourd'hui, une majorité d'entre eux disent dans les enquêtes qu'ils sont favorables à cette réforme.