Rien ne peut être plus social que ce bilan.
J'ajoute que, bien entendu, notre bilan ne se résume pas à cela. Nous avons également lancé le dispositif « devoirs faits au collège », dont bénéficie un collégien sur trois, ou encore entrepris la réforme du lycée professionnel, qui a permis de réduire le taux de décrochage scolaire par rapport au début du quinquennat. J'affirme également que la réforme du lycée général est sociale, car elle limitera à l'avenir le décrochage dans l'enseignement supérieur.
Le fait que nous ayons accompli ces mesures malgré la crise sanitaire démontre d'ailleurs que notre action sociale a continué de produire ses fruits durant cette période.