On constate en effet la présence de déserts médicaux dans de trop nombreux territoires ultramarins, à laquelle s'ajoutent l'insuffisance du nombre de médecins libéraux et de spécialistes ainsi qu'une sous-dotation quasiment chronique des hôpitaux – dont je pense que nous reparlerons tout à l'heure. Aucun centre hospitalier universitaire n'est aujourd'hui dans une situation satisfaisante et nous ne pouvons pas accepter que soit opéré un tri entre les malades, comme c'est arrivé durant le pic épidémique en Guadeloupe.