Le rejet du texte, que proposent nos collègues, ne permet malheureusement pas d'apporter la réponse urgente que nous devons notamment aux populations et à l'ensemble du personnel hospitalier et médical. Par ailleurs, nous devons aussi assumer, sans doute plus fortement que certains ne le font, le fait que la vaccination est la solution première – je n'ai pas dit ultime – et nécessaire dans un premier temps.