Votre propre directeur de cabinet, auparavant préfet, a lui-même déclaré que, si nous reprenions les mêmes pour recommencer, nous retomberions dans une impasse : je suis d'accord avec lui.
Non seulement la place des usagers n'était pas la bonne, mais la question de la régie publique ou de la délégation de service publique n'étant pas tranchée, pas plus que celle des dettes, malgré les propositions que nous avions faites. C'est pourquoi nous nous sommes abstenus sur la proposition de loi de Justine Benin. Voilà pour nos arguments.