Nous ne demandons rien d'extraordinaire ! En cas de catastrophe naturelle ou d'inondation ou de tempête, l'État le fait déjà : ne sommes-nous pas dans une situation absolument exceptionnelle et insupportable, avec, vous l'avez rappelé, madame Benin, des familles endeuillées et des gens en train de mourir ? C'est cela dont nous parlons, et le droit à l'eau est la première des mesures sanitaires à mettre en place, pour freiner l'épidémie et pour sauver des vies.