Madame la ministre déléguée, j'entends ce que vous dites mais vous êtes toujours un peu dans le déni en ce qui concerne le séparatisme dans le sport. Je rappelle que d'après le Conseil d'État, la radicalisation en milieu sportif est un fait documenté. Dans un rapport de 2018, la direction générale de la sécurité intérieure – DGSI – relève que le milieu sportif représente le premier lieu de radicalisation. Il faut être prudent.
Un lutteur français, qui était qualifié pour les Jeux olympiques et paralympiques de Tokyo – c'était le seul –, a été suspendu pour dopage.