Un sportif qui urine doit ainsi être surveillé par un autre homme, et une sportive, par une femme. Il s'agira donc bien d'un vice de procédure si c'est une femme qui a surveillé ce lutteur lors de son contrôle et cela ne signifie pas que le recours qu'il a déposé vis-à-vis de sa sanction a nécessairement un caractère sexiste.
Vous faites donc un raccourci qui nourrit votre théorie, mais qui est peut-être bien éloigné de la vérité. Allons regarder ce qui se passe sur le terrain et ce qu'il en est de ce lutteur, mais ne récupérons pas des informations de cette manière.